LA MÉMOIRE BIAYENDA
Tous nos lecteurs plaident pour la survie de la Mémoire Biayenda
10ème anniversaire du Journal « La Mémoire Biayenda »
Septembre 1999 - Septembre 2009, voici 10 ans depuis que le journal « La Mémoire Biayenda » avait fait sa première parution. A cette occasion, plusieurs personnes dont nous publions les messages en notre possession, ont voulu partager la joie de cet événement. C’est de cette façon qu’elles se sont associées à nous pour commémorer ces dix ans d’existence. La Mémoire Biayenda, journal du Conseil de Coordination de la Cause du Cardinal Émile Biayenda, avait été créé pour vulgariser et faire connaître à la jeune génération les œuvres ainsi que la personne de notre vénéré pasteur, le Cardinal Émile Biayenda.
Mgr Anatole Milandou :
Félicitations pour votre dévouement
- Mgr Anatole Milandou
Tout d’abord, j’adresse mes félicitations, en tant qu’Archevêque de Brazzaville, au journal « La Mémoire Biayenda » qui a tenu le coup pendant 10 ans. La Mémoire, c’est notre journal qui retrace notre histoire. Les gens ont besoin de comprendre ce qui s’est passé dans son vivant et ce qui se passe à propos de la personne du Cardinal Émile Biayenda, notre vénéré pasteur.
Mes sincères félicitations, donc, à tous ceux qui travaillent pour ce journal.
Félicitations aussi pour leur dévouement. Je crois que, c’est tout ce que je peux dire en ce jour de la Nativité de la Vierge Marie. Le Cardinal Émile Biayenda a beaucoup aimé la Vierge Marie, je pense que c’est une belle coïncidence que cela soit aujourd’hui le jour où nous nous souvenons des 10 ans du journal « La Mémoire Biayenda ». Sous d’autres cieux, cet anniversaire devrait être fêté, mais il faut y penser. Vous nous prenez de cours, je ne sais pas quand est-ce qu’il faut fêter cela. Réfléchissez et faites-nous des propositions.
Le journal « La Mémoire Biayenda » a fait du chemin et je pense qu’il a fait un grand travail. Mais, en ce qui concerne les objectifs que l’équipe s’était assignée et qui n’ont pas été réalisés, je les exhorte encore au travail pour que la mémoire, de notre vénéré pasteur, le Cardinal Biayenda soit toujours perpétuée par le journal « La Mémoire Biayenda » partout et même hors de nos frontières
Mgr Bernard Nsayi, Rome Italie
Bon anniversaire « La Mémoire Biayenda »
- Mgr Bernard Nsayi
Je suis très content de cette initiative. Je le lis chaque fois qu’un exemplaire m’est envoyé. Mais, pour la survie de ce journal, je me suis posé une question dans mon for intérieur et mon inquiétude est la suivante : est-ce que le journal « La Mémoire Biayenda » va-t-il continuer dans la même lancée ou bien nous orienter vers une autre façon de faire ? Je pense, par exemple, à la Cause elle-même qui demande et demandera beaucoup d’argent. Ne pouvons-nous pas réfléchir à une autre manière de divulguer la Cause avec un document plus restreint, ceci pour minimiser le coût de la fabrication. Si la présente formule n’a pas trop de contrainte financière et bien continuons avec.
Félicitations aux animateurs de ce journal. Dans l’humilité, travaillons tous pour la grande gloire du Seigneur et pour l’aboutissement du processus de la Cause du Cardinal Émile Biayenda.
Bon anniversaire !
Sitta Héléna à Caan France
Cet outil d’information rend présent notre cher Cardinal
A travers ce journal, nous bénéficions de son enseignement, du témoignage de sa vie donnée à Christ.
Nous rendons grâce à Dieu qui nous a visité et nous visitera encore par la vie de son élu (Émile Cardinal Biayenda).
Cette vie qui est une lettre écrite par ces missionnaires (Pères du Saint-Esprit & Sœurs de Saint Joseph de Cluny) dans une expression africaine selon le mandat reçu de Jésus-Christ : …de tous les peuples faites des disciples (Mathieu 28, 19).
Avec cet outil du souvenir qui est appelé à grandir et à se développer par les disciples qu’il suscite à travers le monde, pour que toutes les générations et les peuples apprennent ce que Dieu fait de merveilleux en Afrique et particulièrement au Congo.
Merci à vous qui animez ce journal, merci pour les progrès que vous avez réalisés en nous le mettant sur internet. Que Dieu vous affermisse dans votre foi à Christ et qu’il vous comble de son Esprit. Merci et gloire à Dieu pour tous ce qu’est appelée à devenir « La Mémoire Biayenda.
Abbé Emmanuel Ntontas, France
Bon courage
Je ne viens pas vous donner mes impressions, mais saluer cordialement une connaissance, un paroissien dont le dévouement et l’esprit de service m’ont beaucoup marqués. Et je constate qu’il fait preuve des mêmes disponibilités pour notre Église particulière et pour la Cause de notre Vénéré Cardinal Émile Biayenda. Je parle bien-sûr de Grégoire Yengo Diatsana. J’ose espérer que ce témoignage d’engagement sera un exemple pour beaucoup et suscitera bien de reconnaissances de la part de notre Église locale.
Bon courage, bon anniversaire au journal et union de prières.
Abbé Adolphe TSIAKAKA
Un outil précieux pour faire connaître le Cardinal
Au moment où je vous écris ce message, je suis en vacances loin de chez moi. De là où je suis, je n’ai pas régulièrement d’Internet. Je dirai simplement par rapport à ce journal, c’est un outil précieux pour faire connaître le Cardinal Biayenda et promouvoir la Cause du Cardinal. Félicitations et à bientôt.
Père Michel Pouët, Amis du Cardinal en France
Une trace écrite, tout un « trésor » qui, semé dans de jeunes générations
Je ne peux qu’encourager ceux qui la perpétuent. Avec le temps qui passe et les générations qui naissent, grandissent et meurent, il y a une trace écrite, tout un « trésor » qui, semé dans de jeunes générations, germera et s’épanouira pour que sur cette terre d’Afrique « la sainteté du Cardinal » produise des fruits de foi et soutienne la marche de ceux qui s’interrogent sur le sens de notre vie terrestre ?
Sœur Marie Brigitte Yengo :
Absolument ce journal doit exister
- Sœur Marie Brigitte Yengo
Je soutiens toujours ce journal. C’est une grâce pour nous de célébrer les dix ans de « La Mémoire Biayenda » qui fait écho de notre vénéré pasteur, l’unique Cardinal qu’a eu notre pays. Donc, c’est une joie pour moi. Il faut que ce journal existe. Je demande à tous les chrétiens de participer à sa survie pour qu’on ne le perde pas de pied. Nous devons absolument le soutenir. Je félicite Mgr l’Archevêque ainsi que tous ceux qui sont dévoués pour ce journal, sans oublier ceux et celles qui apportent leur témoignage. Pour ne pas me répéter, j’insiste que ce journal doit exister. Ce journal est un outil extraordinaire, il doit exister. Faire vivre ce journal, c’est faire perpétuer la mémoire du Cardinal.
Tout ce que le coordonnateur de ce journal me demandera pour célébrer cet anniversaire, je le ferai. Il le sait, j’ai toujours apporté, de temps à autre ma contribution. Chaque activité du journal « La Mémoire Biayenda », sera la bienvenue à la Fondation que je préside avec les autres membres de la Fondation Cardinal Émile Biayenda.
Professeur François Lumwamu :
La Mémoire a été créée pour qu’on n’oublie pas cette cause
Bon anniversaire ! Félicitations pour le travail abattu. « La Mémoire Biayenda » nous rappelle, tout le temps, la présence du Cardinal même après sa mort. Nous attendons que le grand événement se produise, c’est-à-dire, sa béatification et sa canonisation. A ce que je sache, la Mémoire est faite pour cela, pour que l’on n’oublie pas cette cause mais qu’on révèle continuellement ce qu’il a fait et ce que nous le peuple chrétien congolais ainsi que les hommes de bonne volonté attendons.
En ce qui concerne le manque de support, je dirai que l’initiative est là, elle existe voici dix ans de cela. Tout le monde devra mettre la main à la pâte pour sa survie. Le support c’est quoi, mais il faut chercher, il faut chercher.
Frère Marie Alphonse Ndoudi,
(Congrégation des Frères de St Gabriel) : Condisciple de Émile Biayenda
Dix ans d’existence, c’est un exploit !
Je félicite tous ceux qui le font vivre. Continuer à faire ce travail. Je vous encourage, parce qu’un journal est une école, qui instruit et qui informe et éduque le peuple. Dix ans d’existence, c’est un exploit !
Émile Biayenda et Marie Alphonse Ndoudi, nous sommes un. Nous avons vécu ensemble dès notre jeune âge ; nous avons été baptisés ensemble ; nous avons mené notre vie scolaire en commun. Nous nous sommes séparés avec le certificat primaire. Lui était parti pour le séminaire et moi pour l’école d’instituteur. De temps en temps, nous nous retrouvions pour les grandes cérémonies et les vacances. Je suis de ceux qui l’ont rencontré quelques heures avant sa mort.
C’est dommage que les gens ne mettent pas le paquet pour sa canonisation. Rome attend la volonté du peuple chrétien et le travail qui reste à faire, celui des historiens.
Les chrétiens doivent manifester leur contribution pour la survie de ce journal. Il ne faut pas qu’il s’arrête en cours de chemin avant le grand événement. Émile Biayenda, pour nous est un modèle, un modèle à imiter.
Ma joie et la joie de la chrétienté, est que cette béatification arrive avant que nous quittons ce monde. Pour nous catholiques, un saint dans un pays est une grâce. Regardez seulement à côté de chez nous en RDC, ils ont deux bienheureux et nous, nous avons cette grâce que nous ne voulons pas mettre en valeur ; quelle honte ! Soyons fiers de ce que le bon Dieu nous a envoyé.
Abbé, Jean Michel TCHITEMBO
« LA MÉMOIRE » est parmi les présences vivantes du Cardinal
En 1997, avant mon retour en France en début du mois de septembre pour des études de troisième cycle en communication, l’Église locale du Congo a fêté avec faste, lors du vingtième anniversaire de la mort du Cardinal Émile BIAYENDA, l’Ouverture du procès pour sa canonisation. C’était un temps de grâce et de bénédiction en reconnaissance de la bonté et la miséricorde de Dieu pour son peuple au Congo Brazzaville. Personnellement, j’en étais fier et content de ce don du Seigneur afin de raviver la foi dans les cœurs de ses enfants sur toute l’étendue de notre pays. Comme un petit enfant, et avec des mots si simples, je n’ai cessé tous les matins de prier pour la béatification et la canonisation de notre Bon Cardinal Émile BIAYENDA, avec pour appui le dépliant portant la photo du Cardinal intitulé « Son Éminence le Cardinal Émile 1927-1977 » (Confère Nihil Obstat Brazzaville, mars 1977-Abbé Louis BADILA, Vicaire Capitulaire. Aussi Imprimatur Brazzaville, le 22 mars 1992, Mgr Barthélémy BATANTU Archevêque de Brazzaville sans oublier « Paroles du Cardinal Émile BIAYENDA » sur la Paix et celles tirées de la Revue Pentecôte sur le monde, P. 4, 1973.) Tous les jours depuis l’ouverture de sa cause et à chaque fois que je prie, je demande au Cardinal de faire de moi un prêtre Sain de corps et Sain d’esprit.
Partant de là, le journal « La Mémoire Biayenda » est parmi les présences vivantes du Cardinal car celui-ci m’a permis de découvrir, au mieux, la personne du Cardinal, à savoir les grands traits de sa vie et la spiritualité qu’il incarnait et incarne encore, sinon son charisme comme jeune Baptisé, Séminariste, Prêtre, Évêque et Cardinal. Les multiples articles sur sa vie et les nombreux témoignages, venant de divers rangs sociaux et ecclésiaux quant à son agir face au monde et en Église, m’ont été d’un apport bénéfique pour mon cheminement comme baptisé et prêtre. Je profite de saluer tous ceux qui sont à l’origine de ce journal et surtout de sa promotion et sa survie, qui y ont donné beaucoup de leur temps, en particulier Ya Grégoire et son équipe et tous les bienfaiteurs répandus aux quatre points cardinaux. Aussi, le travail du Vice Postulateur, Ya Sourire avec ses édifiants et éclairants éditoriaux pour la cause de Béatification et Canonisation du Cardinal Émile BIAYENDA. Merci à tous nos Pères Évêques pour leur totale implication et à nous tous, peuple congolais chrétien et non croyants qui attendons dans la Foi, l’Espérance et l’Amour l’aboutissement de cette Cause engagée depuis 1997.
Sœur Solange Lozi, cadette du Cardinal Émile Biayenda
- Sœur Solange Lozi
« Grand merci à tous ceux qui s’intéressent à « La Mémoire » et qui le soutiennent
Merci au Seigneur, lui qui mène les évènements, parce que la non parution de ce journal nous a inquiétée pendant un certain temps. Ce journal, je peux le dire, est resté pendant près de trois mois sans paraître. Aujourd’hui, 13 septembre 2009, il est de nouveau sur le marché. Nous ne pouvons que rendre grâce à Dieu. Cela veut dire que, c’est son œuvre à lui et non l’œuvre des hommes, et ce qu’il a commencé, il va l’achever jusqu’au bout.
Par la même occasion, je voudrais dire un grand merci à tous ceux qui s’intéressent à ce journal et surtout qui le soutiennent que le Seigneur par l’intercession de son serviteur le Cardinal Émile Biayenda, répande sur ces personnes toutes les bénédictions dont elles ont besoin afin que l’œuvre de Dieu continue, ici et ailleurs.
Sœur Séraphine Nsimba
(Congrégation des Sœurs de st Joseph de Cluny)
Les différents témoignages publiés réaniment notre foi
Je suis très contente de l’existence de ce journal. A travers cet outil d’information spécialisé, nous faisons mémoire du Cardinal. Aussi, ce journal nous fait connaître les quelques vertus qu’avaient Émile Biayenda, notre vénéré pasteur. Jai fait connaître ce journal au-delà de notre frontière comme au Gabon par exemple. Les témoignages publiés dans les différents numéros de ce journal réaniment notre foi. Personnellement, je soutiens ce journal par la prière
Profitant de vos colonnes, je voudrai dire à tous ceux et toutes celles qui se posent des questions sur la suite du processus de béatification et de canonisation de la cause du Cardinal à Rome, je dirai simplement que cette affaire ne se traite pas au tic au tac. L’Église prend tout son temps d’étudier, le dossier et de voir ce qu’il faut. Mais, avec la grâce de Dieu tout se réalisera un jour.
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