En mars 1977, mouraient au Congo deux grandes figures dont la mémoire ne saurait s’éteindre ni s’évanouir dans l’anonymat mais demeure immortelle. Il s’agit bien du président Marien Ngouabi (le 18 mars) et du Cardinal Émile Biayenda (le 22 mars).
Toutes les chroniques jusqu’à nos jours parues pour apporter une tentative d’explication à la mort prématurée de ces deux hommes et frères, l’ont abordé sur le seul angle politico-tribal. Cette perception des évènements n’a cessé d’exhumer la hache de guerre et de (...)