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dimanche 24 novembre 2024


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LA MÉMOIRE BIAYENDA


 
 
 
 

« Grâce à une révélation du Bon Cardinal Émile Biayenda, mon mal a trouvé une solution »

Témoignage de monsieur Jean François Séraphin Ganga

Le témoignage que voici date de 2004. M. Jean François Séraphin Ganga est parmi les nombreuses personnes qui nous ont fait parvenir leur témoignage. Grâce à une révélation du bon Cardinal Émile Biayenda, dit-il «  mon mal a trouvé une solution appropriée  ».

« J’avais fait un accident de circulation dans ma voiture Toyota Corolla immatriculée 248 ET 4, sur la route de M’bouono, plus exactement sur la montagne dite de Tié-Tié, le 05 juillet 2004.

Ma tête avait heurté le pare-brise avant de la voiture qui s’était cassée. J’avais perdu mes sens. Je fus transporté par des passants au centre intégré de Madibou, où j’avais reçu les soins de premier nécessité avant d’aller faire une radio du front au CHU, demandée par le Docteur Samba Léa en fin de compte, était normale. Cependant, au fil des temps, je ressentais toujours un mal au front et il arrivait des moments où la partie qui me faisait mal s’enflait.

Le 21 novembre 2005, en séjour à Paris (France), j’ai profité de me faire consulter. Je me suis fait consulter par le Docteur Philipe Denoyelle qui m’avait demandé de faire un scanner. Là aussi rien n’avait été détecté (Cf documents fournis).

Jean François Séraphin Ganga

Entré au Congo, le 29 octobre 2008, j’ai rêvé le Cardinal Émile Biayenda, dans sa soutane kaki, il m’a demandé de prendre le produit que j’appliquais contre le mal des cors en France, qui se trouvait dans mon garde linge, et de le frotter sur la place qui me faisait mal. Six jours après le début de l’application, pendant que la partie du corps s’enlevait, j’ai vu un petit morceau de tesson de pare-brise sur le front. Je me suis rendu à l’hôpital de Tié-Tié de Pointe Noire le 05 novembre 2008 où j’étais en séjour. Cette fois-ci, la présence d’un corps étranger a été confirmée et vue. J’ai parlé de ce témoignage du Cardinal Émile BIAYENDA au médecin chef de service de chirurgie qui m’avait reçu. Après un moment de réflexion, il avait décidé de ne pas l’enlever étant donné que la médecine n’avait pas descellé ce tesson. Plutôt, il fallait continuer avec ce produit objet du rêve jusqu’à ce que le tesson parte tout seul. Et c’est ce qui fut fait »

 

 




 
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