Mgr Bienvenu MANAMIKa Archevêque de Brazzaville
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LA MÉMOIRE BIAYENDA


 
 
 
 

Le 100e numéro de la Mémoire Biayenda

Il est là, le numéro 100 de notre journal. A l’occasion de cet événement, plusieurs personnes commencent à nous faire parvenir leurs impressions.

Père Michel Pouët, en Normandie
(France)

La Mémoire Biayenda aux couleurs du Congo

Le journal « La Mémoire », je l’apprécie ; il rend le souvenir d’« Émile » plus présent à ma mémoire. De plus, en le lisant, je perçois mieux combien la force de l’Évangile a pénétré votre culture africaine en soulignant ses valeurs (la joie de croire ; nous les Français et peut-être plus les Normands, nous sommes « froids », notre corps exprime peu notre vie intérieure).

En rendant grâce au Seigneur, pour tout le rayonnement de Tata Biayenda, je vous assure de mon amitié.

Michel P.



Avec les 100 premiers numéros de « La Mémoire Biayenda »

Notre chemin est tracé pour mettre nos pas dans ceux du Cardinal Émile BIAYENDA

« Compagnonnage spirituel : Compagnon de prière, compagnon de mission »

Tout a commencé par cette prière que je médite depuis 1982 qui est porteuse de beaucoup de souvenirs en moi. Avec les 100 premiers numéros de la MÉMOIRE, je peux dire que la route est ouverte, notre chemin est tracé pour mettre nos pas dans ceux du Cardinal Émile.

Rendons grâce à Dieu pour ce don à notre peuple et à l’Église Universelle.

Avec les paroles prophétiques du Cardinal Émile Biayenda, que publie le journal « La Mémoire », nous avons à comprendre la Parole de Dieu et à l’appliquer à nos vies. Le Cardinal est ce pédagogue pour nous, parce qu’il a compris ce pourquoi il a consacré sa vie, et dans ses écrits il nous explique comment nous aussi pouvons nous mettre comme lui, à la suite de Jésus Christ. L’essentiel de la Parole de Dieu concerne les hommes de tous les temps de toute culture, race et langue.

Merci à tous ceux qui nous font vivre la Mémoire du Cardinal, mieux encore : merci pour cette Année Sainte pour le souvenir de notre Martyr le Cardinal Émile Biayenda.

Hélèna SITTA
France



La Mémoire au centième numéro !

Bravo !

« Si je t’oublie…Si je perds ton souvenir Cardinal Émile Biayenda… ! » C’est le cri, mieux, le défi lancé dans son N° 000 de septembre 1999. L’éditorial de l’abbé Nkoumbou s’engageait à maintenir vivace l’impact de la vie, de l’enseignement et du martyre du Cardinal : ne pas l’oublier !

La mémoire, c’est l’intelligence, dit notre sagesse.

Il n’y a rien de plus ingrat que de s’efforcer d’oublier le bien accompli, en votre faveur, par quelqu’un qui vous aime, malgré tout. J’ai l’impression que nous, Congolais, vivons comme si dans notre histoire rien d’extraordinaire ne s’effectuait.

Je rends ici un vibrant hommage aux animateurs du journal La Mémoire pour le travail combien immense abattu jusqu’à lors. Lorsqu’on ne sait pas comment se prépare un manioc, on peut facilement le critiquer et y trouver tous les défauts, tout en le consommant.

Admirable effort, surtout louable persévérance dans la volonté de l’équipe de ne pas rater un seul numéro. Il ne suffit pas d’être riche pour faire un bon travail, mais l’amour, la volonté, la foi font déplacer les montagnes. Et pourtant il faut bien des moyens pour développer La Mémoire.

Ce journal, à chacune de ses parutions, est pour moi comme une dose de zinc à prendre pour rafraîchir ma mémoire et renforcer ma gratitude. Car le contact avec les écrits du Cardinal ou des témoignages le concernant, m’amène plus loin dans le mystère de cet homme qu’un pape, en l’occurrence Jean Paul II, est venu pleurer à genou à sa tombe un certain 5 mai 1980 :

« …J’ai pleuré moi-même un frère très aimé. Je viens le pleurer et prier ici, sur sa tombe, au milieu de vous, avec vous, sûr que le Christ a désiré qu’il fût désormais auprès de lui, c’est que sa place était prête pour l’éternité » (Jn 14, 2-3).

Nul n’est prophète chez soi. Je me surprends souvent à penser qu’un jour, beaucoup de congolais n’auront plus la facilité d’accéder à la Source de Biayenda, tellement il y aura de monde venu d’ailleurs ! Ces derniers devenus premiers s’approprieront légitimement de leur bienfaiteur.

Félicitation et bon courage, surtout bon vent au journal La Mémoire, je prie que sa flamme tienne le coup au milieu des vents.

Père Maurice MILANDOU
Cssp


 
 
 
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