Mgr Bienvenu MANAMIKa Archevêque de Brazzaville
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LA MÉMOIRE BIAYENDA


 
 
 
 

La Mémoire N° 200

Monseigneur Pierre d’Ornellas

Monseigneur Pierre d’Ornellas


 
 
 

« Je suis convaincu que, du haut du ciel, Mgr Firmin Guichard et le Cardinal Émile Biayenda intercèdent pour nous »

 

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Monseigneur Anatole Milandou

35ème anniversaire de l’épiscopat de Mgr Anatole Milandou

Dans trois semaines, précisément le mardi 28 août 2018, Mgr Anatole Milandou, archevêque de Brazzaville et demandeur de la Cause de béatification et de Canonisation du Cardinal Émile Biayenda, célébrera dans la modestie ses 35 ans de vie épiscopale.

 

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Affectations et nominations des ouvriers apostoliques de l’Archidiocèse de Brazzaville

 

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Éditorial

Chantons et dansons notre foi

L’enthousiasme et la spontanéité saisissent très tôt les fidèles chrétiens qui se sont préparés à une grande fête religieuse ; comme par exemple l’anniversaire de la mort du Bon Cardinal Émile Biayenda, les ordinations sacerdotales, la profession religieuse, une campagne d’évangélisation et le mois prochain, nous nous associerons à notre Pasteur qui célébrera dans la simplicité ses 35 ans d’épiscopat, etc.

Consciemment ou non, les fidèles chrétiens de chez nous se laissent aller, avec engouement et frénésie, au stress des préparatifs de la fête. La priorité est donnée aux tenues vestimentaires uniformes, aux pagnes, aux marinières, aux foulards. Il faut y ajouter les disputes autour des chants et des cantiques composés ou revus et adaptés pour la circonstance, les pèlerinages et les veillées de prières. C’est un tourbillon de tempête tropicale qui saisit tout le monde. Oui ! Chez nous les fêtes se célèbrent, les célébrations se fêtent, les chants se dansent, les danses se chantent, bref, la foi en Jésus Christ se danse !

Notre père, le roi David n’a-t-il pas dansé avec tout le peuple quand l’Arche de l’Alliance vint à Jérusalem ? Il est écrit : « David et toute la maison d’Israël dansaient devant Yahvé de toutes leurs forces, en chantant au son des cithares, des harpes, des tambourins, des sistes et des cymbales… » (2 Samuel 6,5 et 14-15).

Danser devant Yahvé et pour Yahvé est donc légitime. Cependant, il nous faut aller plus loin et commencer à évaluer l’impact spirituel de tout cela. Qu’en est-il de l’engagement chrétien, du témoignage de foi, des fruits de conversion véritable, de l’existence chrétienne au quotidien ?

La foi se danse, certes, mais les fruits de conversion et de sainteté tardent de se faire « pain multiplié et pêche miraculeuse » !

 

Abbé Albert NKOUMBOU

 



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